Cette nuit ou ce matin pour certains, un événement de grande ampleur sur le pétrole est survenu.
L’or noir, plus précisément le WTI (West Texas Intermediate), a plongé de manière hyper brutale aux Etats-Unis, atteignant un plus bas qui n’avait jamais été vu depuis 2001.
L’explication est qu’il a chuté à cause de la contraction de la demande mondiale et des craintes sur le stockage. Les stocks de brut ont bondi de 48% pour atteindre 55 millions de Barils depuis fin février. Le “hub” a une capacité de stockage de 76 millions de barils. De plus, 198 Millions de barils sont stockés à l’étranger (source: ZH). On continue ainsi de craindre que les capacités de stockages soient débordées (c’est le cas de dire!).
I recommended to buy gold in 2015 (around 1050 USD/oz) and again in 2017 (around 1300 USD/oz) see graph below and links to the articles (google translated)
For the time being, the price of the underlying raised and some producers too (the quality one’s with low extraction costs).
For example Agnico eagle (EAM) (10 years graph)
The other ones are still lagging because they did not release profits yet (it is coming but they release only one quarter (Q3) with gold above 1300).
For example Iamgold et Argonaut
Today, the market is facing some end year sellings in Canada (tax loss) which put some pressure one the stock prices (as usual every year) but if -like in 2018) the sellings are a bit in calendar advance, it will possible to see a potential end year rally.
Anyway ! 2020 will be the year of the mining sector ! The companies are making a lot of money and saving a big amount of cash (margins increasing) and are going to make acquisitions (it has already started as you can notice these days)
For juniors (explorer et developpers) the time has come or is really close. We are witness of acquistions by big caps, but the mid tiers companies have also to remplace their ressources or reserves.
I am adding interesting graphs
Juniors miners lagging seniors miners
Barron’s index divided by the price of gold is showing the huge undervaluation of mining companies
And finally the mining secteur has to catch up its lateness regarding the SP500 !!
I am following very closely the mining sector and the companies which can be taken over and I strongly recommend to do so (do not hesitate to contact me : here)
Depuis des années le secteur minier voit le cours des actions d’exploration et de développement se faire plomber régulièrement alors que le cours du sous jacent (l’or) monte. Cette chute entraine inexorablement les titres vers leurs plus bas alors que les ressources s’améliorent. Ce phénomène (et je m’en doutais fortement) semble être expliqué par les algorithmes qui vendent à découvert les actions des sociétés.
En 2012, l’OCRCVM et les ACVM ont supprimé une règle de négociation connue sous le nom de «test de tick», qui limitait la vente à découvert à la neutralité ou la vente à des variations de prix positives au moment de la vente. Ces modifications ont été appliquées non seulement au lieu principal d’inscription à la cote de la Bourse de croissance TSX, mais également à toutes les plates-formes de négociation canadiennes, il y en a 14 aujourd’hui, ce qui réduit la capacité de la Bourse de croissance TSX d’effectuer tout changement. Depuis la suppression du test de tick, les marchés canadiens ont évolué et il existe maintenant une dynamique dans laquelle les activités de vente à découvert, de trading à haute fréquence et d’algorithmes exploitent l’absence de test de tick, au détriment des marchés émergents du Canada. Nous demandons aux ACVM et à l’OCRCVM d’évaluer la possibilité de réinstaurer le test des tiques. Save Canadian Mining est un mouvement visant à ramener les règles du marché à la norme juste et transparente qui a permis d’assurer la prospérité pendant plus de 142 ans. Ensemble, nous pouvons sauver le secteur minier canadien.
Il semble que ce groupe a très prochainement rendez-vous avec les régulateurs et si ces derniers font correctement leur travail, il verra que leur décision en 2012 n’a pas aidé le secteur minier.
En conclusion, un “short squeeze” pourrait apparaître sur le marché des minières canadiennes
Depuis juste une année le plancher (intenable, je vous l’avais annoncé comme un Nostradamus helvétique) de 1.20 CHF pour un EUR a été abandonné.
L’économie a résisté durant des mois avant de fléchir en fin d’année. Il semble que le chômage suisse amorce une remontée et il paraît que ce sont les jeunes qui sont touchés
Quasi tous les journaux, le parti socialiste, les syndicats, etc. veulent un taux de change à 1.3 CHF/EUR minimum et ce serait à nouveau à la BNS d’agir (cette dernière qui affiche, par ailleurs, un bilan quasiment de la taille du PIB Suisse, qui se trouve bourré de devises étrangères, d’actions et cette même BNS qui a perdu plus de 23 milliards de CHF l’année 2015).
Mais et c’est le grand MAIS !
On ne parle que des exportations.
regardez aussi les importations et la grande chance avec les prix qui baissent! (voitures etc.)
Parce qu’avoir une monnaie faible c’est aussi un problème:
Le Canada qui a vu sa monnaie chuter (principalement liée au prix du pétrole) tire la langue. Tout est cher !
Le Canada est en train de mettre en place une possibilité pour les banques de faire des bail(s)-in(s) si cette banque est en difficulté.
ENFIN !
Enfin on nous montre la vérité que les dirigeants politiques essaient de cacher.
Ils promettent de protéger les épargnants, mais pas tous à la même enseigne (en saigne…) et sous certaines conditions.
La majorité sera protégée (les personnes qui ont peu d’argent), ainsi on s’assure du soutien de cette même majorité pour prendre l’argent aux fortunés. Tellement facile !
Mais on ne se rend pas compte que les fortunés vont mettre les voiles, se déplacer dans d’autres contrées plus ou moins lointaines, moins coercitives et laisseront (sans regret) derrière eux les spoliateurs qui mourront à petit feu.
On oublie souvent (et loin de moi l’idée de défendre l’argent sale) que les fortunes sont souvent le fruit d’un travail et que ces fortunes donnent du travail, créée des emplois et….accessoirement paient des impôts
Je rappelle par exemple que dans le canton de Vaud:
14% des contribuables vaudois déclarent CHF 100’000 et plus de revenu imposable, ces 14% paient la moitié de l’impôt sur le revenu.
En conséquence, Il ne faut pas avoir de cash sur les comptes.
Pour l’instant (je dis bien pour l’instant), les titres ne sont pas dans les bilans des banques (je parle pour la Suisse et le Canada) et ne sont pas sujets à saisie. Jusqu’à quand ?
Savez-vous que la Suisse s’y est aussi mise en catimini ?
Les politiciens et les organes de contrôles (FINMA, etc.) ont laissé les banques grossir, faire n’importe quoi pendant des années et maintenant ils proposent cette solution. Pathétique !